Même si par endroit, par manque de moyens de certains parents d’élèves, les cours ont bel et bien eu lieu dans plusieurs établissements publics et privés à Conakry.
Dans les communes de Matam, Dixinn, Kaloum et Matoto, sans nommer d’école au risque d’une éventuelle attaque, comme le début de toute ouverture de classe, des établissements sont restés ouverts avec une présence de plus ou moins d’enseignants dans les salles classes.
De notre reporter…